Originaire des Vosges, c’est dans cette région que Patrice commence son apprentissage. Quelques années plus tard, il part à Paris et travaille une dizaine d’années en tant que Maître d’hôtel dans la restauration de luxe. Il fait notamment ses armes dans de prestigieux palaces : le Georges V, l’Intercontinental ou encore le Plaza Athénée…
Après quelques années, il revient dans les Vosges avec ses enfants pour bénéficier d’un meilleur cadre de vie. Patrice se met alors en quête d’une affaire et démarre son activité il y a de cela 27 ans, avec un restaurant italien : le San Remo à Saint-Dié-des-Vosges !
Ce que Patrice cultive dans son restaurant, c’est tout l’héritage de son expérience parisienne : le sens de l’accueil et la capacité à proposer des produits de qualité.
Si Patrice a souhaité exploiter un restaurant italien, c’est avant tout pour le large spectre que propose la gastronomie italienne : « J’ai la chance d’avoir un beau restaurant, mais on peut aussi bien venir chez moi manger une salade avec une amie, un filet de bœuf aux morilles, une Flamenkuche ou encore une pizza.
C’est ce que j’aime beaucoup dans l’idée d’un restaurant italien, et je préfère utiliser ce nom que celui de pizzeria, parce qu’il y a derrière un degré d’exigence, on fait vraiment attention et c’est la raison pour laquelle nous arrivons à faire 200 couverts par jour ».
Un haut degré d’exigence pour satisfaire les clients…
L’exigence dont parle Patrice, se vérifie à tous les niveaux : « Cela concerne l’accueil, la tenue des serveurs, la qualité des produits, la rigueur et le soin apportés à la préparation des plats. Il ne faut pas oublier que si nous sommes restaurateurs, nous sommes avant tout des consommateurs. Je suis extrêmement attentif aux retours des clients, je fais très attention, je mets autant d’attention et de rigueur dans les pizzas que je propose dans le distributeur Pizzadoor, que dans les plats servis dans mon restaurant ».
L’exigence, c’est aussi savoir créer l’étonnement chez des clients qui commandent des pizzas au distributeur : « Je pense que les gens sont surpris et étonnés d’avoir une pizza de qualité dans un distributeur. Je cherche à surprendre parce qu’en tant que consommateur, je cherche moi-même à être surpris. C’est ce que les clients recherchent : un sourire, la propreté, un personnel aux petits soins… Avec la distribution automatique, c’est pareil : l’environnement autour du distributeur est propre, l’écran est nettoyé, on essaye de parler aux gens. On a aussi essayé d’apporter un peu de convivialité autour du Pizzadoor, nous avons installé un petit banc et un parasol pour que les clients puissent s’installer ».
Lorsque Patrice a démarré son activité de distribution automatique de pizzas artisanales, il interroge Marie-Ange Petit, attachée commerciale chez Adial : « Assez modestement, je lui ai demandé si elle pensait que j’arriverais à sortir 15 ou 20 pizzas par jour ». L’objectif a été largement dépassé pour Patrice, mais il fait preuve de beaucoup d’humilité : « Il faut être modeste, après si vous avez la chance de rencontrer un petit succès, il faut l’entretenir et comprendre pourquoi les gens ont envie de venir chez vous ».
Le distributeur de pizzas artisanales de Patrice a été installé le 10 décembre 2020 à proximité de sa pizzeria : « On a la chance de ne pas être très loin ce qui nous permet d’aller voir les clients qui commandent des pizzas. On essaye de les accompagner, de les guider dans l’utilisation du distributeur… ».
Pour cela, Patrice s’est très bien entouré : « J’ai la chance d’avoir Stéphane qui est quelqu’un de très enthousiaste, qui aide les gens, il aime faire plaisir et il a une vraie reconnaissance de la part des clients. C’est Stéphane qui s’occupe du distributeur, il sait le remplir, il s’en occupe complètement et il aide les clients à l’utiliser lorsqu’il se trouve à proximité. » Patrice travaille également avec Franck, le chef qui prépare les pizzas. « Il est là tous les jours, on est tous les trois dans cette aventure et ça nous fait plaisir d’être en ligue des champions de la pizza… »
L’implication des équipes Adial : de précieux conseils et un accompagnement sur le long-terme !
Au début, Patrice était réticent à l’idée d’installer un distributeur : « Il y en avait un ou deux à Saint-Dié-des-Vosges et quand je passais devant je me demandais « Comment est-ce que les gens peuvent aller chercher des pizzas là-dedans…». La seule différence, c’est que je ne savais pas que l’on mettait des produits frais dedans, je pensais que c’était des produits standards, sans personnalité… D’ailleurs, ces distributeurs ont disparu, parce que ça ne fonctionnait pas.
Quand j’ai eu un rendez-vous avec Marie-Ange Petit, elle m’a demandé de préparer des pizzas pour les mettre au four. Pour être franc, je n’ai pas bien compris sur le coup. Lorsqu’elle est arrivée, je l’ai trouvée très pro, à l’écoute, elle prend le temps de vous répondre, de vous former sur la machine… Elle est arrivée avec le four, j’ai mis mes pizzas et on a trouvé ça bien. Elle a été de très bon conseil notamment sur l’emplacement, et j’ai décidé de lui faire confiance parce que je n’y connaissais rien. Le distributeur est implanté en face d’une station de lavage. Cela me paraissait un peu proche du restaurant, mais merci à Marie-Ange parce que quand on vend 145 ou 180 pizzas par jour, on est très content de n’avoir qu’à traverser la rue pour remplir le distributeur. J’ai été très bien conseillé et j’ai même fait une formation chez Adial ».
Pizzadoor, la possibilité de mieux servir ses clients …
Le distributeur pour Patrice, c’est avant tout l’envie d’apporter un service supplémentaire à ses clients et de poursuivre son activité malgré le confinement et le couvre-feu. « Il s’est avéré que c’était le bon choix parce qu’il y a eu le couvre-feu et qu’il fallait avoir un moyen de servir nos clients. Pendant le premier confinement, j’avais commencé à faire de la livraison à emporter, mais je n’ai pas donné suite parce qu’il y a beaucoup de contraintes, surtout dans notre région, les déplacements sont très longs ».
Ce qui a séduit Patrice dans le distributeur de pizzas artisanales Pizzadoor, c’est le fait que la qualité des pizzas soit conservée. « Je ne vous cache pas que ce n’était pas évident, et j’ai eu peur parce que si je me plantais avec mon distributeur, ce n’était pas bon pour le restaurant non plus. Je n’étais pas du tout sûr que ça fonctionne, les gens étaient méfiants au départ et puis ils y sont allés, ils ont testé et c’est le bouche-à-oreille qui a fait le reste ».
Le choix du leader de la distribution automatique de pizzas artisanales …
Avant de contacter Adial, Patrice avait contacté des fabricants de distributeurs concurrents : « J’avais appelé des concurrents, mais après avoir étudié un peu et regardé les réseaux sociaux, j’ai vu que le leader, c’était Adial. Je cherchais la fiabilité, je ne cherche pas à faire un « one-shot », c’est quand même un investissement important. Quand on achète une belle voiture, on essaye de regarder la fiabilité, c’est très important ».
La politique de Patrice : « Si vous mettez du bon dans ce distributeur, il vous donnera du bon. Sincèrement, j’essaye de travailler des bons produits : la tomate, je la fais venir d’Italie, tous mes produits sont frais, j’attache la même importance à la qualité des pizzas de mon distributeur que dans mon restaurant. ». La qualité et la proximité avec ses clients, c’est ce qui a permis à Patrice de monter sur le podium des ventes Adial : « Jamais je n’aurais pensé monter sur le podium Adial, un jour, Marie-Ange m’envoie un message en me disant que nous étions dans le top ten des ventes Adial, alors que j’avais dit à l’équipe que ce serait bien que nous soyons sur le podium des ventes, et on a réussi. Mais jamais je n’aurais pensé que l’on allait cartonner comme ça ».
Depuis que le restaurant a été fermé, Patrice, Stéphane et Franck s’investissent à 300% pour continuer à servir leurs clients avec le distributeur de pizzas artisanales Pizzadoor : « Cela nous permet de garder le contact et de continuer à servir ! ».
Le conseil d’un converti !
Le conseil que donnerait Patrice à de futurs exploitants de distributeur de pizzas ? : « Le travail, le travail, le travail ! Il faut aussi bien choisir son emplacement, et donner la possibilité de stationner. Parfois, il y a 15 personnes devant le distributeur qui attendent ». Patrice prévient également : « Il faut être très attentif à ce que l’on met dans le distributeur et faire attention à la propreté, à l’environnement, à la décoration et le remplir régulièrement ». Patrice nous confie qu’il est « En permanence sur son téléphone pour connaître les « hits du moment ». En ce moment, c’est la raclette qui fait un carton ! »
Patrice et ses collaborateurs se comparent à des « guerriers » : « Sincèrement, Franck vient parfois à 7 heures du matin pour faire les fonds de pizzas. Lorsque nous en préparons beaucoup, il faut les garnir, les mettre dans les boites… Nous sommes très attentifs, on regarde s’il ne manque rien avant de les fermer, on n’hésite pas à ajouter du fromage s’il faut. Nous sommes passionnés et attentifs ».
